Grande galerie

Luc Paradis
Viser Goliath / Foreign Memories

Type de projet

Exposition

Date

15 février 17 mars 2013

Vernissage

15 février 2013

Site web

Crédit : Ivan Binet

Le projet

Viser Goliath / Foreign Memories

La pratique de Luc Paradis met en commun sculptures murales, dessins, peintures et collages. Son travail est traversé d’une spontanéité qui se manifeste dans une construction progressive de personnages et de décors, leurrant le spectateur vers une subtile perversion. L’oeuvre séduit par ses narrations variées et exécutées de façon très personnelle. Elle apostrophe le spectateur avec une composition évoluant sans restriction de sujets, vacillant parfois entre la représentation et l’abstraction, touchant autant le satirique que le caricatural. Les éléments dans les constructions de l’artiste semblent flotter à la surface de l’image ou s’éclater en multiples tableautins.

 

Portant l’idée d’un rapprochement avec le paysage, la proposition de Luc Paradis a été conçue comme une sorte d’« exposition collective » personnelle, un outil de parcours et de connaissance. Le projet prévoit des interventions se tenant côte à côte, comme les arbres d’une même forêt, réunies dans le contraste de leurs approches et leurs disciplines. L’exposition présente des oeuvres nettement distinctes, bien qu’elles proviennent d’une même source.

 

 

 

Communiqué de presse

À propos de l'artiste

Luc Paradis

Luc Paradis est né en 1979 à Vancouver, Colombie-Britannique. Il vit et travaille à Montréal de façon autodidacte. Son travail a pu être remarqué près d’ici lors du Symposium international d’art contemporain de Baie- Saint-Paul en 2009. Depuis de nombreuses années, il est activement impliqué dans la « scène » musicale alternative montréalaise où, en plus d’être musicien, il réalise le graphisme d’albums pour des groupes tels : Pas chic chic, Feu Thérèse et A Silver Mount Zion.

Crédit : Ivan Binet

Crédit : Ivan Binet

Crédit : Ivan Binet

Crédit : Ivan Binet

Crédit : Ivan Binet

Crédit : Ivan Binet

Crédit : Ivan Binet

Crédit : Ivan Binet